Guérir les blessures de la formation : Une approche ayurvédique de la plénitude

Une figure méditative entourée de motifs indiens reflète la guérison holistique des blessures précoces par l'Ayurveda, inspirée par Olivier De Wulf.

Olivier De Wulf
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Bonjour à tous ! Ces derniers temps, j'ai réfléchi aux premières années de la vie, à ces étapes tendres et désordonnées où la vie nous façonne. Je suis tombée sur les mots de Maya Tiwari dans Ayurveda : A Life of Balance, et ils m'ont frappée de plein fouet. Ayant une certaine expérience de l'Ayurveda - j'ai étudié et pratiqué pendant des années - j'ai vu comment nos débuts se répercutent sur nous. Plongeons dans ce livre ensemble - il est brut, réel et un peu transformateur.  

Tiwari parle des phases de formation, lorsque l'ego n'est qu'une jeune pousse fragile. Les parents et les enseignants le protègent, mais lorsqu'ils faiblissent - sans que ce soit de leur faute - ce jeune esprit se ferme. Il construit des murs, étouffant son flux naturel. J'ai moi-même ressenti cela : la blessure d'un enfant qui se transforme en un adulte calme et réservé. Au début de l'âge adulte, ces défenses sont bien ancrées, et les briser ? C'est brutal. Tiwari dit qu'il faut du courage - ou un coup de pouce de la vie, comme un problème de santé - pour faire face à cet ego meurtri. J'ai vu des gens se heurter à ce mur, et c'est là que la guérison commence.  

L'Ayurveda est mon objectif ici. Après des années d'exploration, je sais que les solutions externes - pilules, lubies - sont une distraction. Tiwari les qualifie de "perte de temps et d'énergie", et je suis d'accord. La véritable santé n'est pas une solution miracle ; c'est une sadhana, un travail intérieur dévoué. La méditation, la pleine conscience, ces moments de calme, permettent de recoudre le moi cognitif. Ce n'est pas rapide. Cela peut prendre toute une vie, dit-elle, mais même le processus vous illumine. J'ai vu des gens retrouver cette étincelle, et c'est comme si leur esprit se mettait à briller.  

C'est là que les choses se corsent : la guérison inverse le cours du temps. Tiwari écrit que le fait de pardonner à nos protecteurs - aussi imparfaits qu'ils aient été - déverrouille la paix. L'acceptation de nous-mêmes, avec nos cicatrices et tout le reste, arrête l'horloge. C'est ce que j'ai ressenti avec mes propres blessures : les soigner ne fait pas que guérir, cela fait reculer le temps. Les gens me disent qu'ils se sentent plus jeunes, plus légers, lorsqu'ils lâchent prise. Vivre dans le présent, sans bagage passé ni stress futur, c'est le truc d'immortalité de l'Ayurveda. Il ne s'agit pas d'éviter la mort, mais de s'épanouir maintenant. L'horloge ayurvédique est liée au cycle des étapes de cette vie, mais nous pouvons réinitialiser le rythme en prenant conscience de la situation.  

Il ne s'agit pas de l'approche occidentale qui consiste à "soigner les symptômes" avec laquelle j'ai grandi. L'Ayurveda est holistique - le corps, l'esprit et l'âme ne font qu'un. Le temps que j'y ai passé m'a montré qu'aucune pilule ne vaut l'autocompassion. C'est un travail difficile, bien sûr, mais il est honnête. La prochaine fois que vous serez bloqué, demandez-vous : que cache mon ego ? Comment puis-je pardonner et me contenter d'être ? J'aimerais beaucoup connaître votre point de vue - lâchez-le ci-dessous, envoyez-moi un message sur X ou écrivez-moi un mot. Demain, une autre lettre, un autre pas dans ce voyage.  

-Olivier, avec un coup de pouce de Grok à xAI

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